Bonjour,
C’est une chronique historique que vous lirez : en octobre soixante-dix années se sont écoulées depuis le premier Prix Nobel islandais, cinquante depuis la guerre de la Morue et la première grève des femmes. Cinquante années aussi depuis la catastrophe de Flateyri. Par souci d’équilibre j’ai joint quelques lignes sur ce que seront (peut-être) les Islandais dans 50 ans. Et pour 2026, tout en fin de chronique, je propose un rendez-vous à Stykkishólmur le 12 août à partir de 16h45.
Promis, le présent sera de retour dans ma prochaine chronique où il s’agira de prendre le pouls politique de l’île un an après la victoire des Valkyries aux dernières élections législatives.
Je vous en souhaite bonne lecture,
Michel

Il est triste de voir que même l’Islande, pays des écrivains et des bibliophiles, régresse sur la lecture à l’école !
C. Babinet